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Les blogueurs aussi ont une mère…

admin | 26 mai 2013

Bon, avant que la forêt de marronniers journalistiques, de blogueurs ou de statuts facebooks ne se déchaîne contre la fête des mères, juste un petit rappel non Pétain n’a pas inventé la fête des mères, il inventa la capitulation, la collaboration active et ajouta au malheur le déshonneur… Laisser croire que nous devons à Petain d’honorer les mères, c’est lui rendre un hommage indu.

On célèbre les mères depuis l’antiquité, et la première loi en France date de 1929, le marquer spécialement d’un jour n’implique pas que l’on ne pense à sa mère tous les jours. La fête des mères est une institution moins détestable, depuis que l’on reconnaît la place de la femme dans la société sous d’autres prismes que celui la, comme citoyenne notamment. Et comme l’égalité n est pas atteinte la réponse n est que dans la poursuite du combat.
Alors aujourd’hui hui ma fille est heureuse de fêter sa maman, qui plus est le jour de ses neuf ans, je ne vais pas lui gâcher ça avec la pathétique récupération par Pétain de cet événement mais demain, 27 mai je lui parlerai de jean moulin et du CNR. Aujourd’hui hui j’appellerai ma mère, la boule au ventre, en espérant que la maladie lui laisse comprendre qui l’appelle… Et je vous souhaite a toutes et tous de profiter pleinement de ceux qui vous sont chers.

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CNR, Evita, famille, feminisme, France, mère
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Golpe a golpe, verso a verso.

admin | 27 octobre 2010

J’ai commencé ce billet samedi 23 octobre, mais je n’ai pu le finir à temps. Je l’ai fini ce 27 octobre  en essayant de ne pas tenir compte de ce qui a pu se passer depuis.

« Ce soir on fête à la musardière un triple anniversaire. Celui de mon frère Carlos. L’ainé. Un des personnages récurrents de ce blog. Un de ses très beaux textes fut publié ici. Je le relis, à chaque fois que le moral – celui qui compte, le vrai, pas le politique – est un peu en berne, un peu nostalgique. Et surtout il a pris le relais de mon père, en lisant avec attention mes textes. Et parce que chaque génération apporte son amélioration, il va au-délà en commentant.

C’est aussi l’anniversaire de Thomas, le fils de ma chère et tendre, qui me subit depuis des ‘années.Qui a essuyé bien des plâtres, dont bénéficient ses sœurs. C’est le triste sort des ainés.  Il fête ses 20 ans. Mazette! Ses multiples talents, lui assurent certainement un avenir plein de petits et grands bonheurs. Il avance dans la vie sereinement, et cela fait chaud au cœur.

Tous les deux sont nés un 13 octobre. Mais les hasards du calendrier et des disponibilités font qu’on fête cela en ce 23 octobre, jour anniversaire de ce blog.

Ce blog est devenu un compagnon de route. Il est une variante de cet ami imaginaire que j’avais étant enfant. Depuis que j’ai entamé ma traversée du désert, il est là. Je passe moins de temps à y écrire que je n’ai pu le passer en réunions. « Andando », son nom, provient évidemment de ce poème de Antonio Machado, encore un leg de mon père, qui dit notamment: « Caminante, no hay camino, el camino se hace al andar » (« Voyageur, il n’y a pas de chemin, On fait le chemin en marchant »).

Gabriel Garcia Marquez dit dans le prologue des « douze contes vagabonds » : « le simple plaisir de la narration est peut-être l’état de l’homme qui s’apparente le plus à la lévitation. » Cela correspond parfaitement à ce que j’éprouve lorsque je me lance dans l’écriture. J’entre en un état second, avec un haut niveau de concentration qui me coupe du monde et me transporte dans cet ailleurs. Les nombreux articles restés inachevés, s’expliquent par une interruption, il m’est extrêmement difficile de retrouver l’état exact dans lequel j’étais pour poursuivre une écriture ainsi interrompue.  A moins de parvenir a surmonter cette difficulté, je ne serai probablement jamais apte à écrire un livre, tant il est improbable que je puisse rester en pareil état de concentration et d’indifférence au monde qui m’entoure pendant le laps de temps nécessaire.

A cela s’ajoute évidemment l’absence de talent littéraire, mais cela n’empêche ostensiblement pas la publication, quiconque feuillette les catalogues des éditeurs aura du mal à me contredire. Je n’ai nulle prétention en la matière, et n’y voyez pas de la fausse modestie. J’écris par besoin, par plaisir et pour transmettre. Je préfère encore parler, échanger avec des amis. Pour moi « l’écriture est », comme le disait (écrivait) Jules Renard, « qu’une façon de parler sans être interrompu ».

Et effectivement la personne à qui j’ai des choses à dire doit pouvoir me lire – écouter – sans m’interrompre. Parce que je n’écris que pour une personne, quoi qu’on ait pu croire. Pour toi mon Evita, pour que tu aies quelques éléments pour comprendre qui était ton père, si je n’avais le temps ou l’intelligence de te raconter de vive voix. Mais les autres, qui passez par là et m’aidez par vos commentaires, vos réactions, vos sourires, vos encouragements ou vos critiques, à vous qui inspirez ce blog au travers des conversations que nous avons le midi, ou à l’apéro, vous qui corrigez mes fautes orthographico-grammaticales. bref vous qui prenez un peu de ce temps si précieux pour m’aider à continuer à marcher, à seguir andando , et m’aider donc a faire grandir ma fille, à vous donc: Merci – Gracias; »

NB: CQFD, il m’a enfin été possible de retrouver l’état de lévitation après être – lourdement – tombé. On progresse 🙂

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Carlos Ferrari Lopez, Evita, Gabriel Garcia Marquez, Jules Renard, Machado, Thomas
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Français par intérim

admin | 26 avril 2010

Un jour, pas si lointain que cela – moins d’un an – devant une certaine accumulation de « contrariétés » je craquais. Je me mis en une rage folle .  Il fallait que cela sorte. Cela sortit. Après, le calme revint. Enfin, n’exagérons rien. Cela revint comme avant.

Les causes « légitimes » tant soit-il qu’il y en ait pour se mettre en pareil état, ne manquaient pas. Mais dans la logorrhée qui accompagna cette rage, sortit le cœur du problème: « je n’ai pas d’avenir en ce pays, je suis dans l’impasse ». « Tu verras » dis-je à ma compagne, des bons et mauvais jours, consolatrice des quelques chagrins émaillant nos vies, et source de tous les bonheurs qui l’agrémentent, « ce qu’ils veulent c’est pouvoir « nous » retirer la nationalité ». « Nous » : à Evita et à moi.

Les accès d’irrationalité absolue, n’empêchent pas parfois d’y voir clair.

Facile me direz vous après coup de dire « je l’avais prévu ». Certes, mais je n’y gagne rien. Et de l’avoir vu venir ne m’apporte strictement aucune satisfaction. On se heurte tout au plus à cette moue des nationaux de souche – et oui désormais c’est ainsi que nous devons parler -, qui pensent « leur » démocratie, « leur » état de droit éternel.

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Besson, Evita, Hortefeux, longuet, Maître Eolas, MArie-Ange, Marie-Georges Buffet, nationalité, racisme
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C’est la faute à Rousseau

admin | 16 avril 2010

Dans mon premier jet du post d’hier j’écrivais: « Je rappelle que les évènements décrits se passent en 1728 (JJ Rousseau à 15/16 ans) et de commentaires »

Je m’avisais assez rapidement et supprimais les derniers mots. On aurait pu comprendre que je récusais la possibilité de commenter pour approuver ou contester ma prose ou celle de Rousseau, que Voltaire me préserve de telle pensée.

Il était tout aussi illusoire de penser que moi même ne commenterait pas. Même si cela doit retarder la suite de mes réflexions sur l’abstention je ne saurais en rester là sur ces sujets.

Si je suis athée, et plus que méfiant vis à vis des structures encadrant les croyants, je n’oublie pas qu’aux côtés des prélats qui collaboraient avec les dictateurs et justifiaient moralement leurs agissements suivis en cela par des milliers de prêtres, il existait de nombreux prêtres qui fidèles à la parole écrite dans leur bible et à leur christ ont secouru, caché, nourri, encouragé, et justifié moralement le combat pour la survie des opprimés, le payant parfois de leur vie ou de leur liberté.

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Evita, Jean-Paul II, justice, Nicaragua, Omerta, Ratzinger, Rousseau, Théologie de la libération
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Pour Oward FERRARI

admin | 18 janvier 2010

Je publie ici, avec son accord, le texte rédigé par mon frère Carlos Ferrari-Lopez,que j’ai lu lors des obsèques de notre père, avec une pensée très forte pour Jorge si loin physiquement, si proche par l’esprit en toutes circonstances.

« Pour Oward FERRARI

Toutes les civilisations cherchent à arranger des rites et des coutumes pour faire face à la mort et en protéger le passage.

La notre de civilisation, peut-être parce qu’elle n’en est pas une, a du mal à trouver de nouvelles règles.

Papá nous avait laissé des indications précises que nous suivons sagement.

Né à Mar del Plata en 1925, Papá est allé à Mendoza finir ses études universitaires.

Puis il a commencé à exercer son métier à l’Université de Cuyo, Facultad de Filosofía y Letras.

Marié à Nélida López ils ont choisi de vivre au pied de la Cordillère des Andes. Leurs enfants, par ordre d’apparition, Carlos, Jorge et Luis, ont donc eu la chance inouïe de naître et vivre, un certain temps, sous le merveilleux ciel de Mendoza. Merci à nos parents !

Vous connaissez certaines vicissitudes de l’histoire de Oward.

Je voudrais remonter le temps. A 30 ans, il connaît une première persécution politique et universitaire. Ce ne fut pas la dernière.

Le coup d’état de 1955 amène aux universités argentines et en particulier à Cuyo, l’ordre imposé par les militaires ultracatholiques. Oward, jeune enseignant ayant eu une activité syndicale est menacé ; figurant sur une « liste noire » il prend les précautions nécessaires pour ne pas se faire arrêter. Les élections de 1958 lui donnent la possibilité de reprendre une activité universitaire normale.

Si je m’attarde sur ce fait lointain, c’est parce qu’il est moins connu et pour montrer aussi que la persécution, l’exil et même la prison qu’il a connu dans les années 1970 n’ont pas été dans son cas un accident de parcours mais bel et bien la dure conséquence d’un choix de vie, d’homme libre, d’un penseur sans contraintes.

Hélas, dans l’Argentine du XX siècle, le prix a payer était très élevé.

Dans ce sens, Papá n’était pas une exception…mais il était unique.

Vous avez connu cet homme des années 2000, luttant crânement contre la maladie, accroché à son bureau, entouré de ses livres.

L’homme dont vous connaissez l’œuvre écrite et l’agréable conversation, mu par une passion forte, dévorante : la philosophie et le choc des idées.

Cette passion l’animait d’une manière exclusive, l’isolant, lui faisant prendre des distances, y compris physiques, – oh Colmar !- par rapport à ses proches…

Cette ardeur philosophique pouvait se décliner sous la forme de l’enseignement, la docencia disait-il, ou par l’écriture. Maintenant nous avons ses livres…son secret espoir était qu’ils servent à ceux et celles qui dans les universités sud-américaines n’ont pas accès aux livres fondamentaux ; il se voulait le modeste passeur de la pensée de ses grands amis, Kant, Hegel, Marx. Les livres sont des ponts…disait-il.

Cette passion philosophique extraordinaire l’a maintenu debout jusqu’à la fin de sa vie et ses derniers projets tournaient autour d’une œuvre, avancée mais inachevée, titrée « Philosophie et Religion »…Religion…

Comme nous a dit Jorge, avec ce titre et connaissant Oward peut-être que quelqu’un là haut l’a mal pris…

Je ne ferai pas l’énumération de ses livres.

Il sera possible d’alimenter un site web où les livres de Oward seront mis à la disposition des étudiants et des curieux ; lui, tout consacré à la réflexion et l’écriture n’a pas eu le temps de le faire… !

Très tôt, il s’initia aux secrets et mystères de l’informatique, du traitement de texte. Ainsi il a pu laisser ses machines à écrire (dont il gardait toujours un exemplaire en état de marche…au cas où) et donner une nouvelle impulsion à son œuvre.

Je dois dire qu’il était sans le savoir l’inventeur depuis Mendoza du concept moderne d’hypertexte. Ceux qui connaissaient son bureau peuvent l’attester : ses livres notés, re-notés avec une écriture minuscule, souvent avec des couleurs milles fois différents, qui renvoyaient à d’autres textes, dans d’autres livres étaient de sortes de mille-feuilles de science et de savoir.

Précurseur du post-it avant la lettre, il ajoutait des pages de son cru aux œuvres des plus grands auteurs et ses commentaires venaient compléter les critiques, les traductions et les explications des autres philosophes ; après un passage chez Oward, les livres voyaient leurs pages se multiplier…

Mais il n’y avait pas que l’écrit, j’évoque aussi la qualité et la richesse de sa conversation. Certains ici peuvent en témoigner. Il aimait en particulier prolonger les moments de sobremesa, après les repas, autour d’un verre ou ces derniers temps surtout d’une énième glace…

Alors les sujets s’entrechoquaient, rebondissaient.

Les sujets les plus sérieux : le foot, le vin, les amis, Mendoza, ses petits enfants… ou alors d’autres sujets plus rigolos : la critique de l’Etat libéral ou la crise de la raison !

En tout cas, dans un cas comme dans l’autre, la conversation avec lui était animée, et, en tête à tête, au téléphone ou par internet, toujours émaillée d’humour, de piques, de provocations…et de rires.

Il n’était pas mélomane ; quand il écoutait de la musique sa préférence allait vers les milongas et quelques vieux tangos que nous écoutons aujourd’hui.

Aussi, je pense avoir l’assentiment de mes frères si je dis que Papá était à l’Université un pédagogue rigoureux et à la Maison, un rigoureux pédagogue.

Ainsi il nous a fait grandir. En ce qui me concerne, même très opposé à mes « choix de vie » entre, mettons 15 et 23 ans, il n’a pas cherché à les contrarier. Il me donnait son avis argumenté, parfois vif et virulent, mais il respectait mon choix. Tout en marquant son désaccord il laissait faire. Nous apprîmes à être responsables de nos actes ou de nos passivités ; ça ne fut pas toujours facile…surtout pour lui !

Ses récents voyages en Argentine, tardifs, lui ont permis de retisser des liens intellectuels et affectifs avec les survivants de son époque, avec sa famille, à Buenos Aires, Mendoza, Mar del Plata. Ce furent de moments d’une très intense émotion.

Papá était très discret sur ses expériences de vie, ses blessures et ses sentiments et il n’aimait pas se poser en victime ni faire étalage de ces cicatrices. Mais il n’oubliait pas !

Les souffrances de la prison, de l’exil et de la négation à lui redonner sa juste place universitaire restaient toujours ouvertes. Toutefois, ses voyages en Argentine et la publication de ses livres par la maison d’édition de « son » Université de Cuyo ont été un réconfort mérité.

Dès son arrivée en Europe, en 1975, il a fallu qu’il cravache dur pour travailler et faire vivre les siens. Heidelberg, Toulouse, Colmar…Travail. Travail. Travail.

Nous aurions aimé que tu puisses être un petit peu plus avec tes petites filles, Evita, Brenda, Clara… tes Perles disais-tu. Aussi avec Ramiro, ton footballeur débutant.

Oui, nous aurions aimé… et je sais que Marie-Ange et Martine pourraient dire autant, elles aussi auraient voulu mieux te connaître.

Papá avait des défauts, certainement, je n’en parlerai pas…l’amour est plus fort, beaucoup plus fort ; ça restera entre nous, ses proches.

Ces derniers mois à Toulouse, face au beau Jardin des Plantes, Papá vivait avec Conchita qui l’a soutenu, accompagné et aimé sans retenue.

Il a pu grâce à Conchita finir sa vie au milieu de ses compagnons les livres, de ses manuscrits, de ses photos et de « son monde » comme il aimait dire, et toi Conchita, tu faisais partie de son monde.

Papá :

Voici les vers d’Antonio Machado que tu aimais tant :

« Caminante, son tus huellas

el camino y nada más;

Caminante, no hay camino,

se hace camino al andar.

Al andar se hace el camino,

y al volver la vista atrás

se ve la senda que nunca

se ha de volver a pisar.

Caminante no hay camino

sino estelas en la mar ».

Nos pensées vont vers celles et ceux qui, à Mendoza, Mar del Plata, Buenos Aires, Colmar, ne peuvent pas être avec nous et qui aimaient Oward.

A vous tous, merci. Votre présence est très importante.

Toulouse, le 16 janvier 2010. »

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Le sérieux de l’intention

admin | 27 octobre 2009

Il y a quelques années j’ai eu une violente querelle avec un de mes deux frères. Elle faisait écho a une autre dispute, avec mon père, intervenue des années plus tôt. Mes frères et mon père sont quasiment les seuls êtres capables de me faire sortir de mes gonds. Réellement. Quiconque s’est déjà disputé avec moi, ou m’a vu énervé, n’a pas la moindre idée de ce que  ces trois êtres peuvent produire.

Je n’ai pas davantage l’intention de m’énerver lorsque je suis amené à les voir, qu’ils n’ont je pense l’intention de me mettre en rage. Même si lorsque nous étions enfants, plutôt moi enfant et eux dans l’age bête (mes frères, du temps de mon père on avait pas le temps d’être dans l’âge bête il fallait travailler),  mes deux frères donc, prenaient grand soin de provoquer ces colères. Je leur en suis gré aujourd’hui. Sans eux ils est fort à parier que je serais bien plus susceptible et colérique (tu penseras à remercier tes tontons, Evita)

Mais revenons à cette dispute. J’expliquais à quelques années d’écarts au grand philosophe de père, comme à mon spécialiste de la science de l’éducation de frère, avec mes mots à moi, et pour faire court ici, que l’expression « l’enfer est pavé de bonnes intentions » ne suffisait pas négliger le sérieux de l’intention. Pour qu’une intention conduisant à une action soit sérieuse elle doit avoir été élaborée en réfléchissant aux conséquences prévisibles par la raison. Sinon l’intention n’est qu’un prétexte élaboré après coup pour un acte en réalité irréfléchi, ayant provoqué du mal.

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