Brèves de comptoir
admin | 17 février 2014De manière globale Paris ne me manque pas. Vivre à Paris, j entends. Je me souviens trop de ces weekends pluvieux, sans un flèche après avoir payé le loyer, à rester chez moi, parce que sortir voulait dire dépenser, même en cas de besoin pressant. Et je ne suis que trop gré à Bertrand Delanoé d avoir tenu y compris cette promesse de rendre leur gratuiteté aux sanisettes
Travailler à Paris en revanche m à laissé quelques bons souvenirs. A commencer par ces cafés pris entre deux réunions, dans le bistro du coin. Ces incursions dans le monde des autres m ont évité bien des burn out, et pour un prix somme toutes dérisoires par rapport aux tarifs pratiqués par des psys.
aujourd’hui hui je la joue retour vers le futur, enchaînant des rendez vous à Paris, entrelardés de pauses cafés. Il a fallu un « je suis très physionomiste, quand je scanne quelqu’un je ne l oublie pas. » « Ben alors, c est forcé que tu vois de qui je parle, il habite ton immeuble depuis 5 ans, regarde il y a une vidéo de lui » « ah, ben à croire que mon scan marche pas à domicile… » Pour me remémorer combien je dois au cafetiers … et prendre conscience que je suis plus « brève de comptoirs » que « caméra café »
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