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Les blogueurs aussi ont une mère…

admin | 26 mai 2013

Bon, avant que la forêt de marronniers journalistiques, de blogueurs ou de statuts facebooks ne se déchaîne contre la fête des mères, juste un petit rappel non Pétain n’a pas inventé la fête des mères, il inventa la capitulation, la collaboration active et ajouta au malheur le déshonneur… Laisser croire que nous devons à Petain d’honorer les mères, c’est lui rendre un hommage indu.

On célèbre les mères depuis l’antiquité, et la première loi en France date de 1929, le marquer spécialement d’un jour n’implique pas que l’on ne pense à sa mère tous les jours. La fête des mères est une institution moins détestable, depuis que l’on reconnaît la place de la femme dans la société sous d’autres prismes que celui la, comme citoyenne notamment. Et comme l’égalité n est pas atteinte la réponse n est que dans la poursuite du combat.
Alors aujourd’hui hui ma fille est heureuse de fêter sa maman, qui plus est le jour de ses neuf ans, je ne vais pas lui gâcher ça avec la pathétique récupération par Pétain de cet événement mais demain, 27 mai je lui parlerai de jean moulin et du CNR. Aujourd’hui hui j’appellerai ma mère, la boule au ventre, en espérant que la maladie lui laisse comprendre qui l’appelle… Et je vous souhaite a toutes et tous de profiter pleinement de ceux qui vous sont chers.

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Radieux

admin | 13 octobre 2011

Grâce aux primaires, la politique à de nouveau droit de cité aux heures de grande écoute et trouve un public. Depuis le débat constitutionnel européen, et confirmé par l’élection présidentielle de 2007, je suis convaincu que un nombre important de nos concitoyens s’intéressent toujours à la politique et se sentent concernés par les débats de fond.
Espérons que les chaînes de télévision en tireront les conséquences et permettront de nouveau à la politique de sortir des émissions mièvres du dimanche ou des mises en scènes cacophoniques de fin de soirée.

Mais revenons au débat de hier soir parce qu’un petit détail me turlupine…
Durant le débat, les propositions de Montebourg et Royal étaient présentes en filigrane, bien entendu. Bien entendu, parce qu’un deuxième tour amène à choisir entre ceux que les citoyens ont placé majoritairement en tête, mais doit évidemment tenir compte de la totalité de l’expression citoyenne.
Quelque soit l’élection, j’ai toujours rejeté la posture de celui qui arrivé en tête en déduit qu’il est dés lors logique qu’il gagne. Si cela devrait être pourquoi organiser des scrutins à deux tours? Pourquoi ne pas exiger – ce que personne n’a fait – un scrutin à un tour, et celui arrivé en tête – fut-ce d’une voix se trouvant intronisé? Tout simplement parce que tout le monde conçoit que pour être pleinement légitime il faut accepter d’aller au bout du débat et recueillir l’assentiment de plus de la moitié des exprimés. Lors de certaines élections, je pense à des municipales ou des législatives notamment, il est arrivé aux candidats de gauche d’arriver en second au premier tour et néanmoins emporter le second tour, sans jamais que personne à gauche ne dise puisque la droite est en tête laissons lui le siège.

Mais laissons cela pour revenir aux idées et propositions portées. L’esprit même d’un scrutin de second tour nécessite que les électeurs, les idées du premier tour se retrouvent sous une forme ou une autre au second tour. sous une forme ou une autre cela n’implique pas un marchandage. Cela implique parfois de changer l’ordre des priorités, de mettre en avant des idées avec lesquelles on était en accord mais que l’on a moins mis en avant… parce qu’un autre candidat le faisait, et que le travers des premiers tours est souvent de devoir mettre en exergue ce qui nous différencie, là où le second peut mettre en avant ce qui rassemble. Mais cela peut aussi être dire son rejet d’idées exprimées même si elles sont partagées par un nombre plus ou moins important d’électeurs.
Parce que je vois les choses ainsi, je trouve saine l’attitude de Montebourg, et de Ségolène royal d’avoir pour l’un écrit et mis en débat un certain nombre de propositions durant l’entre deux tours, pour l’autre de dire qu’elle considérait que Hollande était plus proche de ses propositions (même si j’avoue ne pas être en vraiment convaincu). Tout cela se fait dans la clarté, et publiquement. De toutes façons, les électeurs du premier tour de Royal ou Montebourg, savent ce qui dans leur candidat les a convaincu. Ils ont leur propre grille de lecture pour le second tour, qui peut être en adéquation ou pas avec l’interprétation qu’en fait leur favori du premier tour.
Ils jugeront et se prononceront. Nous le savons certains ne viendront pas voter, d’autres se conformeront au choix indiqué par leur élu du premier tour, non par discipline mais par ce qu’il partagent l’analyse, d’autres enfin iront à contre-courant parce qu’ils divergent sur l’ordre des priorités et qu’ils analysent le second tour à l’aulne du choix nouveau qui leur est donné.

Tout ça est normal et sain à mes yeux. Ce qui m’intrigue en revanche, c’est que dans le débat de hier soir il y avait un grand absent : Manuel Valls. On n’a entendu à aucun moment un des deux candidats reprendre la moindre de ses propositions. Aucun ne s’est vanté de reprendre les idées à contre-courant du projet socialiste défendues par Manuel Valls depuis des mois (des années diront certains). Aucun n’a fait la moindre allusion à son électorat. Je m’en réjouis, mais je trouve cela curieux quand on sait qu’il fut le tout premier a donner une consigne de vote.
Encore plus curieux était de voir Manuel Valls sortir des studios de France 2 avec le staff de Hollande ornant un sourire radieux, digne d’un vainqueur…
Peut-être venait-il d’apprendre que Messi avait marqué un but, peut-être avait-il eu un bonne nouvelle personnelle, peut-être repensait-il a une bonne blague entendue à l’issue du débat dans un moment de légitime décompression. Parce que sinon je ne vois pas. Je ne vois pas comment un candidat tel que Manuel ayant rallié le panache de Hollande pouvait hier soir avoir le sourire en ne voyant non seulement aucune de ses idées reprises, mais en voyant son candidat « obligé » de s’éloigner assez significativement de ses idées. A moins, que sa candidature et ses postures n’aient été qu’un leurre de bout en bout.

Mon vote Aubry sera donc un vote de conviction, et un vote de précaution. Des fois que Messi ne soit pour rien dans ce sourire radieux. Quelque soit l’issue de dimanche soir je sais pouvoir compter sur Martine Aubry pour défendre les idées que nous portons, et veiller à ce que les engagements pris lors de la campagne et des débats publiquement soient tenus.

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Aubry, Essonne, France, Hollande, Montebourg, primaires, Royal, Valls
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La part du diable

admin | 21 janvier 2011

J’adore les polémiques qui font mon ordinaire le temps d’un repas entre amis, d’un apéro… le café du commerce à du bon tant qu’il reste dans la sphère privée. C’est un exercice intellectuel aussi bon que des mots croisés, ou une partie de scrabble ou de risk (façon champlanaise) mais j’essaye tant que faire se peut de les esquiver ici. Ce blog ayant pour vocation essentielle de donner quelque chose de moi à lire à ma fille dans quelques années qui ne soit pas trop « périssable »…

Cependant, il m’est difficile de ne pas évoquer la célébration de Céline décidée  par le ministre de la culture (le comité fait des propositions soumises à la décision du ministre). En effet cette polémique aborde une problématique présente ici depuis le tout premier post et abordée encore rapidement il y a quelques jours dans « l’appel des livres ».

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Céline, Delanoë, France, Frédéric Mitterrand, Jack London, Johann Hari, Le Pen, Melenchon, Misanthrope, Picsou, Plantu
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Travail de mémoire

admin | 5 mars 2010

Si j’ai appris une chose de mes études en Histoire, c’est à me méfier des témoignages et de la mémoire.

Notre cerveau à une impressionnante capacité pour nous resservir une « mémoire officielle » . L’historien, le journaliste qui ne confronterait pas les souvenirs d’un témoin à d’autres sources a toutes les chances de s’égarer, d’être égaré par le témoin, malgré lui.

Hier soir en rentrant de la projection de « La Rafle », je me remémorai la première fois où je fus confronté à ce que fut la deuxième guerre mondiale. Pas de doute. C’était en voyant le film Shoah, en Allemagne, à l’age de neuf, dix ans, obligé par mes parents.

Ce matin, l’esprit plus clair, et grâce à internet et aux documents ramenés de chez mon père, j’ai reconstitué la réalité.

Tout d’abord le film ne s’appelait pas Shoah, mais « Holocauste » .

C’était un feuilleton américain, en quatre parties. 419 mn en tout. Elie Wiesel notamment contesta le principe même d’une fiction commerciale pour traiter d’un tel sujet. 1 américain sur deux l’a vu. 1 allemand sur trois. Dont moi.

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River Plate

admin | 8 décembre 2009

Je ne suis pas un passionné de football. Je ne connais pas par cœur les matches ni qui a marqué en quelle année ni à la combientième minute. Je ne sais même pas qui est en tête du championnat de France, ni d’Argentine d’ailleurs.  Cela ne tient pas la première place dans mes préoccupations, mais j’aime le foot, j’aime autant regarder ce qui se passe sur la pelouse qu’alentours.

Je garde, des rares fois où j’ai eu l’occasion de jouer au foot, de bons souvenirs. Je ne devais pas être bon, et de nombreux aléas ont conduit à ce que dans mon exil je n’acquière pas le minimum de savoir jouer que j’aurais acquis en restant en  Argentine.

En ces temps particuliers, où la France est interrogée (plus qu’elle ne s’interroge elle-même) sur son identité nationale, et où on supprime l’histoire-géographie de l’année terminale des études scientifiques du secondaire, je souhaite préciser à toutes fins utiles un ou deux détails, avant de poursuivre mon récit.

Je suis Argentin. Ma langue maternelle est l’Espagnol version argentine (un peu comme le québécois vis à vis du français en moins différent…). Mes plats préférés sont les empanadas, l’asado et une bonne salade de tomates avec beaucoup d’oignons. Mon vin préféré est le « San Felipe » pour la bouteille, n’importe quel vin argentin ou espagnol avec de l’eau de seltz pour la soif. Mes sports préférés sont le Polo (parce qu' »on » a souvent battu les anglais jusqu’en 1998, depuis c’est le Brésil et le Chili qui dominent ), le Pato (horse-ball en « français » :-)) et le football. Je suis donc Argentin. A l’âge de huit ans, après qu’on ait arrêté mon frère, mon père, qu’on ai subit un attentat à la bombe alors que nous étions ma mère et moi au domicile familial, nous avons quitté l’Argentine. Mon frère et mon père ayant « bénéficié » d’une loi qui permettait de transformer une peine de prison politique en exil à vie, pourvu qu’un pays vous réclame sont partis en Allemagne!! Nous étions encore en « démocratie » des lois s’appliquaient donc. Une fois mon frère et mon père partis pour l’Allemagne, ma mère « décida » de quitter à son tour le pays, avec moi. Se résignant à laisser ses parents et son autre fils, âgé de 21 ans, actif politiquement et déterminé à rester s’occuper de ses grands parents et du pays…

Me voici à Heidelberg. Ce furent pour moi d’heureuses années, grâce aux sacrifices de mes parents, de ma mère en particulier. Mes frères me manquaient sûrement. L’ainé, que je n’avais vu depuis un certain temps et pour cause, mais que je ne vis pas davantage par la suite et qui dans mon imaginaire ressemblait à Lucky Luke, et devait certainement s’absenter pour aller faire justice.

Puis parce que ma mère ne supportait pas l’Allemagne – je crois – nous partîmes à Toulouse. Ma mère n’y rencontra pas davantage le bonheur. Moi je ne fus pas plus malheureux qu’un autre adolescent étranger arrivé dans cette France de la fin des années 1970. Mes parents dûrent se battre pour pouvoir m’inscrire dans le collège public, moi le métèque. Je dus pas mal bastonner à la récrée, et subir toutes sortes d’humiliations de quelques professeurs, des pions  et du conseiller d’éducation.

Passons sur tout ça, disons juste que ce n’est pas le fait d’une intelligence supérieure si je n’étais pas surpris quelques années plus tard des scores de Le Pen. Juste que, ces 10 à 15% de français, je les avais rencontrés, entendus et vus à l’oeuvre plus d’une fois.

A 18 ans, en 1985, mon père remplit à l’insu de mon plein gré les papiers pour ma demande de nationalité française.

Mon père se voyait refuser une première fois la naturalisation. Lui qui avait interdit qu’on parle espagnol à la maison, nous interdisait de boire du maté au balcon. Buvait du vin français, allait voir le tour de France passer, achetait sa baguette en revenant du PMU.

Lui aussi avait subi et subira d’autres humiliations. Mais il devint Français, sous Pasqua, comme moi.

Je suis Argentin. Je mourrai argentin. Et on dispersera mes cendres sur les Andes. La moitié de mes cendres.

Parce que l’autre moitié on la dispersera là où ma femme et ma fille décideront. Parce que si je suis devenu Français, je ne le suis pas devenu par décret.

1986, décembre.  Malik Oussekine dans cette nuit du 06 au 07 décembre fut assassiné par des forces de l’ordre décomplexées par les propos de ministres et d’ éditorialistes. J’étais alors devenu membre du bureau de la coordination nationale étudiante. C’est en battant le pavé qu’intervint ma première prise de conscience d’appartenir à ce pays, et d’avoir envie et légitimité à me battre contre ceux qui le déshonorent. Ce sentiment qui depuis a grandi dans mon cœur, à force de rencontres, de lectures, de combats communs, est aujourd’hui incarné par ma fille, descendante d’un franco-argentin et d’une franco-italienne  et ce sentiment nul décret ne viendra l’extirper.

Mais Besson de digresser et  revenons au football. Ce qui me fascine dans le football, outre d’y jouer, c’est ce qui l’entoure, ce qu’il suscite. Alors règle numéro un, il faut être un supporter. Il faut choisir son camp. Et ça j’adore. En effet n’est-ce pas passionnant de voir des personnes aimant quelque fois le foot, y jouant vraiment, supporter une équipe au travers de décennies contre vents et marées, quelque soient les joueurs, l’entraineur, ou les financiers et en entendre certains me dire que je ne suis pas très objectif en politique?

Alors dans chaque pays, j’ai mon équipe. Boca juniors en Argentine, comme ma mère et mon frère (celui qui est resté là-bas). Mon père et mon frère ainé sont supporters de Racing, la « Academia ». Pas de supporter de River chez nous… j’y reviendrai.

En Allemagne c’était le FC Köln, je ne sais plus bien pourquoi, mais toujours est-il qu’en 1978, la troisième année ou je le supportais le FC Köln fit selon wikipédia sa « meilleure saison de l’histoire du club qui réalise le « doublé » (championnat et coupe) »… ce désir de s’intégrer est une sur-vérité assurément.

En France ce fut plus compliqué. Au début c’était simple: je vivais à Toulouse, je supportais le TéFéCé. Mon éloignement de Toulouse coïncida avec son déclin. Mais aussi avec mon moindre intérêt pour le football. En m’installant dans l’Yonne je me mis à supporter  l’AJ Auxerre de Guy Roux. Et puis ayant du reprendre mon balluchon, je cessai à nouveau de suivre le foot.

Enfin me voilà en région parisienne depuis suffisamment de temps pour faire mon choix. Le PSG, c’est comme River Plate, c’est juste pas possible. Ce sera donc l’OM. Il aura suffit d’un supporter qui a su me donner envie!

Et pour la coupe du monde, alors? Parce que, et ça n’a rien d’original, tous les 4 ans, le gamin passionné de foot reprend possession de mon esprit, je supporte d’abord l’Argentine, et n’en déplaise à beaucoup, y compris et peut-être même surtout avec Maradona comme entraîneur. Et j’aimerai qu’ils gagnent, pour que les journalistes sportifs argentins aient encore un moment de bonheur.

Ensuite? L’Italie, puis la France, puis l’Espagne, puis le Brésil (oui je rappelle que ma grand-mère est né dans les eaux territoriales Brésiliennes), bon et sinon il restera toujours l’Allemagne. Voilà, voilà, si avec ça je suis pas en demi-finale, c’est que la coupe du monde est truquée… 🙂

Mais revenons à River Plate et à l’élection par les associés du club du nouveau président du club. Il y a eu vote, tricherie avérée, on a recompté, on a obtenu un résultat inversé, on s’apprête à voir la justice s’en mêler.

Rassurez-vous, je ne me prends pas pour Pascal Boniface grand spécialiste de la géo-politique footballistique (mais pas que…) , ni pour Carlos Ferrari-Lopez qui officie parfois sur certaines radios, qui m’a transmis l’info. Allez les lire, ou les écouter si vous voulez des analyses sérieuses et documentées. Je me contenterai de comparaisons faciles que ce soit avec l’Irlande, le PS, les révolutions oranges, ou encore avec la première élection de Georges W. Bush junior.

Force est de constater que la contestation devient une règle, le doute est invoqué sur chaque résultat, la présomption de tricherie est installée. Et le réflexe de « il suffit de revoter » ou « de rejouer » s’installe. Discréditant encore un peu plus la solennité du vote et sapant un des fondements de la démocratie. Quand on voit les débats sur la main d’Henry, ou de Maradona, comment ne pas s’y intéresser, tant ils permettent de parler – pas trop sérieusement – de questions bien plus graves? Comment s’étonner que les politiques s’emmêlent?

Bon allez une petite partie de PES sur Wii s’impose

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