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Ainsi parlait mon père…

admin | 27 septembre 2011

J’ai eu l’occasion souvent de l’évoquer ici. L’autre jour en écrivant sur Jean (Ridoux) je pensais a cette rencontre que j’avais suscité entre ces deux bonhommes. Leurs échanges. Je me disais que j’aurais aimé réussir à croire en Dieu et au paradis rien que pour les savoir réunis …
Jorge, mon frère, nous a envoyé ce lien sur le site de l’université de Mendoza. C’est la vidéo d’une de ses dernières conférences. Au-delà de l’émotion, je me plais à l’entendre parler de ce qui lui tint plus que tout dans la vie à cœur, jusqu’à son dernier souffle. Pour les hispanophones exclusivement… mais son livre en Français reste toujours édité chez l’Harmattan

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Jean Ridoux

admin | 25 septembre 2011

J’apprends seulement aujourd’hui, près d’un mois après les faits, mais avec une immense émotion le décès d’un grand Monsieur. Jean Ridoux.
J’étais objecteur de conscience quand j’ai croisé le chemin de cet ancien résistant et militant de la Paix. Il m’a pris par la main et m’a fait découvrir avec générosité, respect, sans paternalisme aucun, bien de choses.
Comme je l’évoquais dans un ancien post, il a entre autre contribué à ce que je reprenne mes études et fasse une parenthèse dans une activité militante excessivement chronophage.

En me faisant entrer dans son monde merveilleux, dans lequel il vivait entouré d’ami-e-s plus extraordinaires les uns que les autres il m’a aidé à voir le monde différemment, à ouvrir mon esprit.
Le site qui avait été créé pour ses 85 ans sera bientôt réactualisé pour évoquer son souvenir. Je vous invite d’ores et déjà à découvrir ce que fut son exceptionnel parcours: http://artepepan.com.mx/jeanridoux/Bienvenu.html

Chau Jean, Gracias por todo, te quiero mucho.

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Violence d’Etat.

admin | 22 septembre 2011

Comme souvent je me suis endormi vers la fin du deuxième épisode de « Mentalist ». Je me suis réveillé avec le générique de Dexter. Ma chérie est montée se coucher, je suis allé faire un tour sur le net.

Je ne crois pas en Dieu, c’est ainsi. Je ne crois donc pas aux miracles. J’étais convaincu que Troy mourrait cette nuit là. J’étais gêné donc de rester là a attendre allant de google actualités US à face et de face à Twitter. Il y avait un coté voyeur et cynique à attendre l’inévitable horreur.

Mais à mesure que l’heure fatidique approchait, je me rendais compte que je ne pouvais m’empêcher d’espérer. Espérer que la Raison l’emporte. Que les êtres humains qui avaient le pouvoir d’arrêter la machine infernale cessent de penser aux élections prochaines, cessent de se prendre pour Dieu et renoncent à s’attribuer le droit de tuer en prétendant connaître de manière infaillible la vérité. Twitter, puis face, enfin Google confirmaient un répit. Ils allaient surseoir à l’exécution le temps que la cour suprême, dont la plupart des membres furent nommés sous Bush, prennent une décision. Je montais me coucher. Malgré le nombre de croyants dans cette cour il n’y aurait point de miracle et la Raison n’avait aucune chance d’y poindre le bout de son nez.

En arrivant en haut je jetais un coup d’œil comme tous les soirs à la chambre de ma fille. Elle rigolait. Dans son rêve, ma fille rigolait. Un véritable petit fou rire. Je fus ému aux larmes. Troy avait quasiment mon âge. il fut arrêté a 20 ans pour avoir tué un homme. Coupable ou innocent, il passa 21 ans en prison. Il « manqua » d’être exécuté 3 fois avant de subir l’injection létale en cette nuit du 21 au 22 septembre. Il passa près de 04 heures attaché en attendant la décision de ces Messieurs de la Cour…

Comme tout cela sent le rance, des temps que l’on voudrait à tout jamais révolus. il fut le 35ème exécuté depuis le début de l’année 2012, Ben Laden non inclus. Le 34ème exécuté fut quelques heures à peine auparavant un membre du KuKluxKlan qui aurait assassiné un jeune homme… noir. Pure coïncidence bien sûr.

Tout cela tournait dans ma tête. Ma fille retrouva un sommeil plus serein, et moi j’attendais le petit matin les yeux grands ouverts. J’appréhendais les commentaires du lendemain. Je savais par avance que les amalgames feraient florès. L’antiaméricanisme primaire allait s’exprimer, tout allait être mélangé. je savais qu’au final nombre de mes « amis » finiraient par s’en prendre à Obama coupable de ne pas avoir aboli la peine de mort. Je refusais de rentrer dans le débat. Trop d’énergie a dépenser. J’étais vivant. Roy Davis entrait aux cotés de Malik Oussekine notamment dans mon Panthéon très personnel, dans l’aile réservée aux victimes des violences d’Etat.

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Troy Davis

admin | 21 septembre 2011

Depuis longtemps tout a été écrit sur le sujet. En France dès avant Victor Hugo jusqu’à Robert Badinter et François Mitterrand, le combat a été mené sur tous les fronts avec des arguments d’une telle force que même l’ affront National ne parvient pas malgré les tentatives réitérés de récupération de la légitime émotion lors de dramatiques faits divers, a du mal à renverser la donne.

Les mots de Victor, de Robert sont si forts, qu’on en oublie que dans tous les pays du monde s’élèvent des voix pour faire reculer la barbarie. L’Union européenne peut s’enorgueillir non seulement d’avoir banni la peine de mort mais d’en faire une condition d’adhésion. Ce n’est pas rien.

Tout à été écrit, et très bien écrit, et pourtant comment garder silence devant cette énième exécution? Troy Davis sera exécuté ce soir pour avoir tué un policier. Il sera exécuté dans un état de droit. Il sera exécuté dans une démocratie.

Ce n’est pas rien. Je condamne avec la même passion la peine de mort dans tous les pays où elle est pratiquée, quelque soit le crime. Je crois à l’Humanité, je crois à l’universalité des droits de l’homme. Rien, aucun particularisme culturel ne justifie à mon sens une remise en cause de l’universalité des droits.

Quand la Chine exécute des milliers de ses ressortissants chaque année, mon émotion n’en est pas moins vive. Mais la Chine n’est pas une démocratie, n’est pas une dictature. L’espoir en Chine c’est, pour un démocrate comme moi, que demain, si les opposants au régime chinois l’emportent, si la démocratie fait rentrer ce grand pays dans le chemin du respect des droits de l’homme, que demain donc la peine de mort y soit abolie.

Mais quel espoir pour les Etats-Unis? Qu’espérer lorsqu’on voit que c’est un combat que même Barack Obama n’est en situation de porter (S’il a toujours soutenu la peine de mort, en tant que sénateur de l’Illinois, il a participé à la réforme du système, créant de nombreuses garanties afin de réduire les erreurs de condamnation. «Si les preuves me disent que la peine de mort ne réduit pas vraiment la criminalité, je pense qu’il y a certains crimes si odieux» qu’ils méritent la peine capitale, écrit le candidat démocrate dans «l’Audace de l’espoir».)? Comment ne pas désespérer voyant que cette démocratie ne semble pas apprendre de ses erreurs (Sacco et Vanzetti parmi tant d’autres?) ?

Mais je précise que je ne m’oppose pas à la peine de mort parce qu’un doute pourrait subsister sur la culpabilité. Peu m’importe je le dis que Troy Davis soit innocent (ce qui implique un coupable en liberté) ou coupable. Peu importe pour moi qu’il nie le crime, ou qu’il le reconnaisse. Même pour un criminel sur lequel aucun doute ne subsisterait quant à sa culpabilité, je maintiens fermement que l’être humain n’a en aucune circonstance droit de donner la mort à un autre.

On m’objectera peut-être que je n’ai pas été victime directe ou collatérale d’un criminel. Je persiste, ni Hitler, ni Ben Laden, ni Videla, Viola, Galtieri, Pinochet, ni les tortionnaires des geôles argentines dans lequel « résidèrent » des membres de ma famille, ni les auteurs des attentats à la bombe commis contre mon domicile familial, non pour personne je ne souhaite la peine de mort. La peine de mort ce n’est pas la justice, c’est la vengeance. Elle ne permet pas de comprendre, elle ne permet pas de faire le deuil, elle prolonge encore et encore le cercle vicieux de la haine. Mais cette affaire n’est pas qu’individuelle. Si demain il arrivait malheur aux êtres qui me sont les plus chers, par le fait d’une action criminelle, je veux que la société m’aide à me protéger contre la sauvagerie. Contre la tentation de la vengeance, contre la volonté qui pourrait monter en moi de voir la loi du talion s’appliquer. La société devrait m’aider, moi victime, à ne pas ajouter au drame subi, l’abaissement au niveau du criminel.

Si je cherche encore et encore dans ma mémoire ce qui m’a fait quitter la mouvance communiste, c’est probablement cet élément le premier déclencheur: la chine, l’union soviétique, cuba… bien sûr la plupart de mes amis communistes français ont toujours été opposés à la peine de mort. Mais le silence gêné de certains d’entre eux, voire les justifications abracadabrantesques des exécutions dans les « pays frères » m’ont largement fait vaciller.

Je ne pense pas que l’on puisse être de gauche et favorable à la peine de mort. Je ne conçois pas que l’on soit démocrate et favorable à la peine de mort. Je ne conçois même pas en réalité que l’on puisse être favorable à la peine de mort en quelque circonstance que cela soit et penser avoir avec moi quelque chose de précieux en commun.

Au moment où l’UMP nous propose de prêter allégeance, moi l’objecteur de conscience, né sur l’autre rive de l’atlantique, me remémore les mots de ce grand Homme, né en France, contraint lui aussi à l’exil :

« ‎J’ai dévoué ma vie au progrès, et le point de départ du progrès sur la terre, c’est l’inviolabilité de la vie humaine. De ce principe découlent la fin de la guerre et l’abolition de l’échafaud. » Victor Hugo

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De l' »envie » d’être Président de la République… ou sénateur

admin | 19 septembre 2011

Cela fait des mois que cela dure, et tout frétillants certains à droite comme à gauche cherchent à relancer une polémique depuis ce week-end. Martine Aubry n’aurait pas envie d’être présidente. Elle serait candidate par défaut. Je refuse depuis le début de rentrer dans la polémique, celle-ci comme les autres. Parce que je sais que chaque polémique qui nous éloigne du débat de fond ne sert que la droite et l’abstention (abstention aux primaires et aux présidentielles).Pour ma part je n’ai jamais douté de la détermination de Martine Aubry de jouer un rôle de premier plan, et de créer les conditions pour rendre cela possible sans renier le collectif. A aucun moment je ne l’ai imaginé s’effacer devant quiconque de bon gré. Il ne me souvient pas qu’il en fut toujours ainsi de la part de certains premiers secrétaires de notre parti.

Je ne céderai pas davantage aux provocations et préfère me contenter de recommander la lecture de François Mitterrand à ces amis qui n’ont que le mot « envie » à la bouche, qui ont intégré l’idéologie de la cinquième république au point d’oublier peut-être quelques fondamentaux.

La lecture de ce texte ferait du bien aussi à ceux qui se détournant des décisions collectives se lancent dans une aventure individuelle contre leurs camarades tournant le dos à leur engagement de toujours. Mais je doute qu’ils prennent le temps de lire Mitterrand.

Enfin le dernier paragraphe doit nous rappeler que le Sarkozysme s’inscrit dans une tradition des présidents de droite de la 5ème République poussée à son extrême, mais dans une continuité tout de même.

Dans la Révue socialiste, n°52 de février – mars 1981, paraît un entretien avec François Mitterrand. La première question était ainsi formulée:

 

« François Mitterrand, pourquoi a-t-on envie de devenir Président de la République? La charge n’est-elle pas trop lourde à l’heure du risque nucléaire? »

 

Mitterrand répond en ces termes:

« Ai-je bien saisi la portée de votre question? selon vous, la gravité croissante des responsabilités du Président de la République découragerait les postulants à la candidature, Ou dissiperait leur désir d’en assurer la charge. Les faits ne paraissent guère vous donner raison: les candidatures se multiplient, nullement rebutées par l’ampleur éventuelle de la tâche! A ces candidats de décider, en leur âme et conscience, si leur « envie », comme vous le dites, est à la mesure de la mission à accomplir.

 

Pour un socialiste, l’interrogation est toute autre. En premier lieu, sa vie, son combat, son œuvre ne se décident pas seuls au gré des échéances électorales. Certes les succès antérieurs, et demain peut-être la victoire, ne le laissent pas indifférents. Qui nierait notamment l’importance de l’élection à la Présidence de la République? Elle n’est pourtant ni le commencement ni la fin de tout. Aussi bien un candidat socialiste à la présidence doit-il conduire sa campagne avec sérénité et tranquillité, mû par l’ambition de faire gagner ses idées plus encore que sa personne. Ce qui ne doit rien lui retirer de sa pugnacité nécessaire.

 

A la différence des candidats des partis de l’argent, le candidat socialiste n’est pas solitaire en son combat. Son « envie », c’est d’abord l’envie de centaines de milliers de militants et de citoyens: l’envie de faire enfin respirer à pleins poumons un pays qui étouffe sous le poids des privilèges de la caste au pouvoir. La force et la volonté du candidat socialiste sont nourries par l’élan des forces les plus créatives et les plus ardentes et par la vaillance de son parti: le seul grand parti démocratique français.

Au demeurant, si demain il est porté à la Présidence par l’allégresse et l’enthousiasme des Français, il ne se retrouvera pas seul maître à bord accaparant jalousement toutes les fonctions de l’État. Vous le savez, mon projet est de rééquilibrer le partage des tâches entre les organes du pouvoir.

A chacun son rôle: au Président de définir les orientations principales; au gouvernement de gouverner avec efficacité; au Parlement de légiférer librement; aux collectivités territoriales de s’autoadministrer. Le désordre s’est installé dans l’État par l’intervention permanente du Président dans le fonctionnement quotidien de l’administration: se mêlant de tout, il oublie l’essentiel. Votre question se réfère à ce que vous appelez « la lourdeur » de la charge de Président de la République: oui, ainsi conçue par le président sortant, la charge est aujourd’hui si lourde qu’elle tombe des mains fragiles de son dépositaire. A vouloir tout régenter, on ne gouverne rien! Au pied du trône roule la couronne: les privilégiés s’en emparent pour légitimer leur toute-puissance. Faute d’un gouvernement solide, ce sont eux qui gouvernent, ce sont eux les vrais maîtres. Ils organisent la crise, le chômage, l’inflation. Avec la bénédiction d’un Président qui n’en peut mais. »

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Avoir le cul propre.

admin | 5 septembre 2011

Il y a quelques mois, lorsque je pris mes nouvelles fonctions comme conseiller technique du président du Conseil général de l’Essonne, Jérôme Guedj, un blogueur, qui n’est pas de mes amis – ni virtuel ni réel – écrit un billet à mon sujet s’apuuyant sur deux photos « piquées » sur mon facebook, que j’ai la faiblesse de persister à laisser ouvert à tous vents…

La première est une photo prise chez moi, un soir d’Halloween, grimé en vampire à la demande de ma fille pour la soirée familiale. Pour des raisons qui m’échappent, la conversation vint sur un ancien camarade, pour qui j’ai une grande estime, Gabriel Amar, je montrai du coup fièrement à un ami le livre que celui-ci m’avait dédicacé. Clic clac Kodak, photo prise, facebookée et ressortie quelques temps plus tard donc, avec pour commentaire que cette image « peut se lire à bien de dégrés ».  Rien de bien méchant ni intéressant, me direz vous avec raison, et rien qui avait mérité jusqu’à ce jour que j’en parle, ici.

Non ce qui vaut ce billet, c’est la deuxième photo. Celle-ci avait été prise en hiver, je suis chaudement vêtu, chapoté comme il se doit (avec un très beau chapeau acheté chez un vrai chapelier d’Avallon, dans l’Yonne). Je parle à François Lamy. Comme il y a beaucoup de bruit – on est à l’inaugiration de sa permanece parlementaire à Massy – je lui parle … à l’oreille. Le blogueur commente ainsi la photo:  »Luis Ferrari était assistant parlementaire de Francois Lamy, je ne résiste pas non plus a cette autre photo qui ressemble a un remake de la chanson « parle plus bas, car on pourrait bien nous entendre », le film s’appelait … »le parrain«  »

En lisant cela je me souviens que la colère m’avait gagné, je me souviens m’être dit que, décidement, j’aurais du franciser mon nom quand j’acquis la nationalité française. Si je m’étais appelé Louis Renault m’aurait-il assimilé à la mafia italienne à partir de ce cliché? Cependant j’en restai là.

Mais voilà, entre temps l’ordinaire sarkoziste qu’est Marleix vient de tenir à l’égard de mon ami Jean-Vincent Placé les propos ignobles que vous savez. La colère de Jean-Vincent est réelle, et je la comprends, elle ressemble fortement à celle qui fut la mienne en lisant le post cité ci-dessus. De toutes parts des voix s’élèvent pour dénoncer cette enième expression de mépris et de haine de la part d’un membre de la majorité.

Or ne voici-t-il pas que « mon » blogueur se scandalise dans un article des propos du dit Marleix? Ne voilà-t-il pas qu’il condamne sans appel les propos de son camarade de majorité (le dit blogueur est au nouveau centre, l’officine créé par Sarkozy pour contrer les velleités d’indépendance des centristes), j’en extrai la phrase la moins vulgaire :

« Osez rappeler les origines des uns ou des autres,est une démarche boueuse qui nous renvoie a Sarkozy le hongrois, NKM la polonaise etc.. quelles que soient nos sympathies ou nos antipathies si elles trouvent leurs fondements sur nos origines ,elle sont assimilables aux pires des racismes. »

Bien entendu cette colère contre Marleix, qui oublia le nouveau centre dans son charcutage electoral, au moment mêm où se préparent les sénatoriales dans un climat de confusion et de dépouillage des centristes par la droite essonienne, serait plus crédible à mes yeux, si ne restait dans ma mémoire, l’allusion à Luis Ferrari le mafieux.

J’imagine d’ici le blogueur en question s’etonner… « quoi Ferrari c’est d’origine italienne…non? vous n’allez pas me croire mais j’ignorais… »

Non, Monsieur,  je ne vous crois pas.

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