C’est la faute à Voltaire
admin | 20 avril 2010Lorsque je publiais mon précèdent Post le 16 avril « LE nuage » avait déjà plaqué au sol l’aviation européenne. Ma nièce se trouvait alors au Portugal. Elle était sensée rentrer le 18 sur Paris pour repartir le 20 avril en Argentine nous ne nous inquiétions pas vraiment. Nous nous résignions plutôt. Les Ferrari et l’aviation c’est une vieille histoire de désagréments. Encore que si ma mémoire familiale n’est pas défaillante, mes parents eurent aussi quelques problèmes avec le bateau d’une traversée Europe – Argentine. Jamais de drame, juste des contre-temps, une belle école de patience.
Au final après avoir un peu galéré, ma nièce devrait bien décoller ce soir mais directement de Madrid, sans que je l’ai beaucoup vu durant son séjour européen.
Et qu’a à voir Voltaire avec tout ça? Lisbonne et colère de mère nature évidemment. Et cette fois FF prend donc le soin de lire la meilleure partie du billet, celle écrite par ce géant, tu y trouveras bien plus de plaisir que tu ne veux l’admettre 😉 Cet été nous marcherons sur les traces de Candide à Cadix… d’où il embarqua pour… Buenos Ayres…
Je ne résiste à reproduire les 5 chapitres concernés de Candide en Français et en Espagnol, même si il faut les lire et relire en entier: Texte intégral disponible sur : sur Google books ou pour les ennemis de Google sur In libro veritas et en castillan Ciudad Seva
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