de l’Eglise catholique apostolique romaine
admin | 15 avril 2010Ces derniers jours le très saint Père et à travers lui toute l’église catholique apostolique romaine est l’objet des plus virulentes attaques. Les faits reprochés à quelques prêtres, à quelques évêques sortent de toutes parts, partout soudain on se met à fouiller et à trouver des liens entre nombre de ces religieux incriminés et celui qui fut le cardinal Ratzinger avant de devenir pape.
Je ne suis pas un grand adepte des théories du complot, et étant qui plus est parfaitement athée mais gardant respect et compréhension pour ceux qui croient en un ou des Dieu(x), je n’ai pas non plus pour habitude de m’immiscer dans leur modes d’organisation, dans leurs débats vestimentaires, m’exprimant en général que lorsque la religion sert d’alibi ou de complice aux ennemis de la démocratie, des droits de l’homme ou prétend nous dicter qui nous devons aimer ou pas. Mon propos n’est donc pas d’accabler ici cette si vénérée institution en rappelant le rôle de la hiérarchie catholique durant la dictature argentine assistant les militaires lors des séances de torture ou participant à l’enlèvement des enfants des « rouges » . Non tel n’est pas mon propos.
Ce qui motive ce billet, c’est ce commentaire laissée par une personne que j’estime sur facebook, indiquant que l’Église catholique est bien mal en point « aujourd’hui« .
Nous sommes nombreux je pense de ma génération à avoir été contraints de lire « Les confessions » de Jean-Jacques Rousseau. Par chance j’avais lu le tome 1 des confessions avant le diktat professoral (je n’ai du coup jamais lu le tome II me contentant des résumés et fiches en vente en librairie). L’ayant lu de mon propre cher, il m’impressionna fortement. Au point de mettre ce matin moins de 5 minutes à retrouver le passage que la réflexion précédemment évoquée m’avait remémoré. Une fois le passage trouvé il fut aisé sur internet de repérer un site (en l’occurrence http://www.lettres.org/confessions/confessions.htm) m’épargnant de retaper le dit passage. Afin d’éviter tout malentendu je cite large pour ne pas être accusé de replacer hors contexte l’extrait que vous trouverez en gras le passage gravé dans ma mémoire. Ce passage est bien connu, je ne prétends à nulle découverte. Je rappelle que les événements décrits se passent en 1728 (JJ Rousseau à 15/16 ans) :
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